L’enterinement de nouveaux membres du bureau de la commission électorale nationale indépendante a eu lieu ce samedi 16 octobre à l’Assemblée nationale, à Kinshasa.
Voici les réactions de quelques personnalités politiques à ce sujet :
« L’enterinement des membres de la CENI est régulier » a déclaré Lambert MENDE,ex ministre de la communication et médias sous Joseph Kabila.
« Je félicite le nouveau président de la CENI et son équipe la tâche est certes rude mais aucun effort ne doit être ménagé quand il s’agit de servir la nation » s’est exprimé le président sortant de la CENI,Corneille NANGAA.
« Le processus électoral vient d’être entaché d’une irrégularité qui ne peut garantir une issue favorable enteriner le nouveau bureau de la CENI dans le chaos plante le décor de la crise électorale en 2023 », a écrit la sénatrice Francine MUYUMBA,membre du Front commun pour le Congo de Joseph Kabila.
« Coup de théâtre à l’Assemblée Nationale les mêmes causes produisent les mêmes effets KADIMA= MALONDA le FCC s’en remet au garant du bon fonctionnement des institutions KADIMA ne sera pas investi rien de nouveau sous le soleil jurisprudence. » a lâché Geneviève INAGOSI Kassongo,ex ministre du genre,famille et enfants.
« Je rends grâce à Dieu parce que nous avons fait un travail avec conscience et nous avons opéré un choix judicieux et les gens jugeront notre travail par les œuvres » s’est réjouit le pasteur Dodo KAMBA, Président de l’association des églises de réveil au Congo.
« Une plénière anarchique sous parapluie et sous une forte présence policière contre les Députés à l’Assemblée Nationale telle est l’image des élections attendues en RDC en 2023″ a déclaré Félix KABANGE NUMBI du FCC.
» Pour nous, il n’y a pas encore entérinement d’un Président de la CENI » a fait savoir le député Bofaya BOTAKA du FCC.
Il faut noter que le processus de désignation de Denis Kadima à la tête de la CENI est différente de tous les précédentes têtes. Il sera un président désigné d’une manière singulière. Certains analystes voient déjà les germes des contestations et tricherie.
Après trois ans de règne, le régime de Félix Tshisekedi peine à répondre au besoin de la population. Jusqu’à présent, le bilan est très négatif. Conscient d’avoir perdu en amont la guerre contre son adversaire naturel qui est le bilan, le régime se lance à la recherche des béquilles pour tenir et régister en 2023. Ces béquilles sont avant tout :< la Cour Constitutionnelle et la CENI>, qui vont permettre au pouvoir actuel d’échapper aux scénarios François Hollande, ( faire un seul mandat).
Plotin Yambenga
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