« Dis-moi qui tu hantes, je te dis qui tu es »
Aux abois œuvres de la diaspora congolaise dans la gestion de la République
Dès la venue au pouvoir de Félix Antione Tshisekedi Tshilombo en 2019, le pouvoir congolais est géré en grand morceau par les congolais vivant à l’étranger. Quels sont les résultats de la gestion de la congrégation de l’étranger dans la gouvernance en République Démocratique du Congo ?
En effet, après avoir été déclaré élu, le Président Félix Tshisekedi avait résolu de travailler plus avec ses amis de la Diaspora, en compagnie de qui, il avait passé son temps en Europe. Cet assortiment a été glorifié par la majeure partie de la communauté congolaise, vu que celle-ci a passé plusieurs années dans des « pays développés ». De ce fait, ils sauront apporter une tournure distinctive afin de booster la République Démocratique du Congo vers la croissance.
Hélas, la confrérie (diaspora) s’est lancée dans un havresac disproportionné. Elle est quasiment rattrapée dans toutes les mafias et malversations sceptiques dans l’exécution de divergents projets. Cette team de congolais vivant à l’hétérogène s’est donnée au pillage de la caisse de l’Etat. Tous les week-ends sont des havresacs d’argent qui harponnent la direction de l’Europe et USA via des jets privés. Attendus au Congo pour épauler leur ami Félix Antione Tshisekedi Tshilombo, Chef de l’Etat, eh bien, ils se livrent à des pratiques hostiles à la bonne marche de l’Etat congolais.
Tous volent le Congo et les Congolais afin de s’acheter des villas en Europe et ailleurs ; entre-temps au Congo, personne d’entre eux ne construit. Ils sont en antagonisme d’enrichissement, bien plus, d’après un conseiller de la Présidence de la République, leur manière de travailler, laisse l’impression des gens qui préparent leur retraite, prenant tout à leur passage.
« Dis-moi qui tu hantes, je te dis qui tu es »
Etonnée de cette posture, l’opinion congolaise se demande ce que perpétrait cette confrérie à l’étranger ? Avait –elle étudié ? Quels genres des milieux fréquentait-elle ? Et quels genres de travail faisait cette bande ? Elle va loin jusqu’à remettre à contingence les capacités du chef de l’Etat, de par ses choix d’entourage. Une conclusion tirée de _ »Dis-moi qui tu hantes, je te dis qui tu es_ »
Par ailleurs, si les Japonais sont allés apprendre les nouvelles technologies émergentes en Amérique pour pouvoir développer leur pays, eh bien les congolais font le contraire, ils sont allés juste contempler la beauté et l’agréabilité des systèmes des vies des autres.
« Quand Félix TSHISEKEDI accède au pouvoir, il a fait appel aux congolais vivant à l’étranger dans le souci de bénéficier de leur savoir-faire pour faire du Congo l’Allemagne d’Afrique »
Un rêve qui s’est envolé à cause de nauséabond comportement de ses amis venus des pays « développés », où le détournement de deniers publics « n’est pas monnaie courante.
Conseillers du chef de l’État, mandataires publics, coordonnateurs de grands projets, tous sont issus de la diaspora pour la plupart.
Grande est l’affliction de constater que tous ces gens que le chef de l’État a rappelés de l’étranger lui rendent des sordides services.
Au lieu de réaliser en RDC ce qu’ils ont vu ailleurs, hélas, c’est le maraudage d’argent destiné à la réalisation des projets de développement afin de s’acheter des villas en Europe.
Leur accorder une fois de plus le risque de gérer ce pays, serait une position analogue à celle d’un congolais qui se bat aux côtés du M23.
Rédaction : +243816440669, +243851211389
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