L’ombre de la force spéciale américaine plane dans la partie Est de la République Démocratique du Congo
Par Léon Idole HOPAY
En exorde 2021, le Président de la République félix Antoine Tshisekedi, invita la force spéciale américaine pour jauger la situation sécuritaire dans l’Est du pays afin de dénicher le problème, subséquemment d’élaborer les stratégies pouvant mettre fin une fois pour toutes à l’insécurité persistante dans cette partie du pays. Cette invitation était dans le cadre de la coopération militaire USA-RDC.
Hélas, la grande stupéfaction est que, juste après le passage de la force spéciale de la super puissance militaire (USA) , l’insécurité a pris une dimension incommensurable. Les désobéissants du M23 vaincus en 2012 par les forces armées de la RDC, reviennent suréquipés, en grande robustesse jusqu’au point que la communauté internationale puisse déclarer : »ce mouvement dispose des armes plus sophistiquées que celles de la Monusco ». En d’autres termes, ce mouvement peut gagner la guerre contre la Monusco, une structure internationale.
Quelques questions méritent quand même des réponses. Quels étaient les résultats de l’évaluation de la force spéciale américaine ? Quel type de stratégie a-t-elle allouée à la République ?D’où, les rebelles avaient acheté ces armes?
L’apport de la force spéciale Américaine est quasiment, un fiasco total. Parallèlement, certains analystes estiment même que cette force avait un agenda caché et elle travaillait pour ses intérêts et celui du Rwanda.
L’information faisant état d’armes sophistiquées retrouvées entre les mains des rebelles laisse à désirer. Comment ce mouvement du 23 Mars peut se doter d’armes plus sophistiquées qu’un État? Ces rebelles n’étaient-ils pas informés de types d’armes que disposaient les FARDC?
Un analyste inexploré spécule que le secret d’état (forces de sécurités) serait divulgué par un des naïfs du pouvoir actuel. Le premier à être soupçonné est l’ancien ambassadeur américain Hummer Mike , qui s’admettait vice-président de la République Démocratique du Congo. Il avait un certains pouvoir qui lui laissait la latitude des réunions avec certains officiers militaires de manière officielle mais aussi officieuse. Il serait impliqué même dans le choix des animateurs des institutions, bien plus, il faisait partie des instigateurs de la fin de la coalition FCC-CACH.
Deuxième personne à être soupçonnée serait celle qui aurait ordonné le meeting aérien entre les avions Angolais et Congolais, qui auront admis à un pays voisin de capter les différentes armes lourdes que disposait notre pays. Un exercice qui serait rendu facile par les nouvelles technologies. Les informations recueillies par l’Angola seraient vendues à l’agresseur, comme nous le savons tous, entre Etats, il n’y a pas d’amitié, il n’y a que des intérêts.
Outre cela, la force spéciale américain serait venue pour comprendre les méandres de terrain où se déroule le théâtre de guerre et voir par la mesure du possible améliorer les capacités stratégiques de forces de sécurité Rwandaise et les M 23. Une zone d’ombre persiste encore lorsqu’il faut analyser le travail de cette force spéciale américaine. L’avenir nous dira plus.
Rédaction : +243816440669,+243851211389
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